Lesbos, terre des nuits chaudes et langoureuses,
Qui font qu’à leur miroir, stérile volupté !
Les filles aux yeux creux, de leurs corps amoureuses,
Caressent les fruits mûrs de leur nubilité ;
Lesbos, terre des nuits chaudes et langoureuses.
Jeudi c’est Musset qui est à l’honneur en cinquième roman de la collection : « les grands classiques de la littérature libertine ». Gamiani ou Deux nuits d’excès est un petit chef-d’oeuvre de la prose érotique. Les dérèglements des sens d’Alfred de Musset, sa vie de débauches, son personnage donjuanesque, son esprit aristocratique, le saphisme de George Sand, la mort dramatique de la Malibran ont pu lui inspirer l’histoire pornographique et mortifère de la comtesse Gamiani qui, selon le jugement exagéré du Grand Dictionnaire Universel du XIXème siècle, » dépasse les monstruosités du marquis de Sade en paroxysme érotique « . Ce n’est pas le cas, car Gamiani ou Deux nuits d’excès est une oeuvre plus sentimentale et bien moins violente que Les Cent Vingt journées de Sodome de D.A.F. de Sade et moins pornographique que L’Anti-justine de Restif de la Bretonne. Le petit Mercure.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde
4 commentaires sur “Correspondance avec Sand”
Cher TBM-Rennes , même si je suis sure que Bonnie puisse être intéréssée par une offre aussi alléchante , je doute qu’elle se contente d’un aussi petit engin que le tiens . Dommage car la formulation reste … étonnante … une fois décryptée …
kler que je te foutré bien mes 20 CM dans la bouche pendant Clyde te fourera le cul , et pour te finir on te giclera sur les miches
t’aimré ça chui sur
Penchée et offerte , on attends que de voir Clyde au mieux de sa forme saisissant à pleines mains les fesses de cette blanche Bonnie . Introduisant son vit monstrueux dans » sa belle intimité » et l’honnorant de va et vient jusqu’a l’extase et pourquoi pas l’ultime récompense … Sa semence s’ecoulant doucement sur cette belle croupe … Une Bonnie comblée et en sueur qui n’aura pas lacher son poteau entre douleur et plaisir au final …
What else 🙂
Un bien beau texte une fois deplus, fort bien tourné et très intéressant, et accompagné d’un cliché fort seyant. En le voyant s’afficher en arrière-plan, derrière le filtre d’Erog, il m’a fait penser à une estampe japonaise, à la silhouette d’une Geisha avec la coiffure de Bonnie.
Et lorsqu’il s’est révélé, dévoilant la complicité entre la femme et la nature, allégorie de la mère nourricière, j’ai été encore plus charmé.
La pose de Bonnie, prenant appui sur les racines de cet arbre et par extension de la nature, éveille un sentiment de confort, de sécurité et de plénitude à la fois.
Très agréable après un début de semaine un peu mouvementé, ce moment bucolique est un instant de détente pour lequel je vous remercie infiniment. J’en profite pour vous glisser, chère modèle, une pensée coquine et un tendre baiser à déposer où bon vous semblera 😉