C’est la panthère d’amors.
À dame bele et bone et sage,
noble de cuer de et lignage,
cilz qui son dous non n’ose escrire,
que par ce ne puist de mesdire…
Les mots sont de Nicole de Margival vers la fin du XIIIème siècle, et je trouve qu’ils s’accordent parfaitement au cliché suivant. Je vous accorde aussi, bien sûr, que la lecture du vieux français n’est pas forcément aisé.
Merci à Franc pour cette retouche photo animale
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
18 commentaires sur “Panthère”
quelle jolie vue…je m’imagine venant par surprise et…
biz, un chateur de sxb
Yabri est un adepte du safari dans la jungle bretonne ?
une panthere comme ca, moi tous les jours je vais dans les bois avec lol bisous
Attention aux bêtes sauvages, cela peut-être dangereux …
Comme il se tend vers nos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d’où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l’éclat incomparable du ventre et des deux cuisses.
Evohé, que ces Déesses,
pour enjôler les garçons,
évohé, que ces Déesses
ont de drôles de façons.
quelle jolie vue…je m’imagine venant par surprise et…
biz, un chateur de sxb
Yabri est un adepte du safari dans la jungle bretonne ?
une panthere comme ca, moi tous les jours je vais dans les bois avec lol bisous
Attention aux bêtes sauvages, cela peut-être dangereux …
Comme il se tend vers nos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d’où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l’éclat incomparable du ventre et des deux cuisses.
Evohé, que ces Déesses,
pour enjôler les garçons,
évohé, que ces Déesses
ont de drôles de façons.
quelle jolie vue…je m’imagine venant par surprise et…
biz, un chateur de sxb
Yabri est un adepte du safari dans la jungle bretonne ?
une panthere comme ca, moi tous les jours je vais dans les bois avec lol bisous
Attention aux bêtes sauvages, cela peut-être dangereux …
Comme il se tend vers nos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d’où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l’éclat incomparable du ventre et des deux cuisses.
Evohé, que ces Déesses,
pour enjôler les garçons,
évohé, que ces Déesses
ont de drôles de façons.