Ces jeunes femmes épinglées au mur sont apparues à la fin du XIXème siècle sous le crayon de l’illustrateur Charles Dana Gibson qui créa les « Gibson Girls », une représentation iconique de la belle et indépendante femme américaine corsetée et de Howard Chandler Christy avec les « Christy Girls » qui représentent des femmes à la fois libres et sophistiquées règle indispensable et primordiale à toute pin up.
Des illustratrices comme Joyce Ballantyne et Pearl Frush ont elles aussi contribué à développer cette image de la femme fatale qui apprivoise son corps et sa sexualité.
Les années 30 avec l’explosion de la photographie et l’apparition des Pulp Magazines et des Dirty Comics voient se développer de plus en plus ces nouvelles représentations de la femme idéale. Avec la seconde guerre mondiale le terme de Pin Up est fréquemment utilisé et on retrouve ces femmes peintes jusque sur les carlingues d’avion.
Depuis les années 50 elles font parties de notre quotidien, nous les retrouvons sur des publicités, dans des calendriers, des bandes dessinées et même si la photographie et la vidéo nous montre aujourd’hui davantage de femmes nues, les pin up sont toujours présentent… leur règles, leur façon d’être et de se comporter persiste… sortent d’Amazon des temps modernes…
J’aime à croire que j’en fait partie…
Bises Coquines
Bonnie
Pour aller plus loin…
L’âge d’or de la pin up américaine, Charles Martignette et Louis Meisel, ed Taschen
Pin Up, Philippe Berthet, ed Dargaud
4 commentaires sur “Pin up 9 * Règle 4*”
Toujours aussi belle et agréable à lire. Bon retour
Plein de bises à vous deux…
Merci et à bientôt,
Bonnie 💋
Merci Bonnie tu é la pin Up
Ash
Pas de quoi, des bisous et vous devriez avoir des nouvelles rapidement car nous prévoyons quelque chose dans les semaines à venir 😉
À bientôt
Des bises
Bonnie